
La visite du premier ministre français à Alger n’a été qu’une déconvenue de plus pour les dirigeants algériens, qui n’ont finalement arraché aucune concession à Manuel Valls sur le dossier du Sahara, un revers diplomatique ressenti encore plus amèrement par le Polisario, selon une source bien informée à Tindouf, QG du front indépendantiste sahraoui soutenu par l’Algérie.
Pourtant, ce n’est pas par manque de volonté de la part d’Abdelmalek Sellal. Le premier ministre algérie...
Pourtant, ce n’est pas par manque de volonté de la part d’Abdelmalek Sellal. Le premier ministre algérie...